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Vent d'élus dans les médias
Un groupe d’élus et d’anciens élus municipaux réclame un BAPE générique sur la filière éolienne
L’organisme à but non lucratif (OBNL) Vent d’élus, qui regroupe d’actuels et d’anciens élus municipaux québécois, dont l’ex-maire d’Amqui Gaëtan Ruest, réclame un Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) générique en lien avec le développement de la filière éolienne.
Le groupe a adopté une résolution soulignant notamment que le territoire cultivable ne représente que 2% du territoire québécois, et que toute réduction de sa superficie « menace la sécurité et l’autonomie alimentaire » de la population régionale.
De plus, le regroupement s’inquiète de la pollution occasionnée par l’aménagement de parcs éoliens sur ces terres.
« Quand ils plantent ces éoliennes-là, les masses de béton qu’ils ancrent dans la terre pour les soutenir sont gigantesques. À un moment donné, quand ils décident de les démonter pour développer autre chose, ça va rester là. C’est de la contamination à long terme et les citoyens du Québec devraient être consultés », commente Gaëtan Ruest en entrevue avec Mon Matane.
Le groupe a adopté une résolution soulignant notamment que le territoire cultivable ne représente que 2% du territoire québécois, et que toute réduction de sa superficie « menace la sécurité et l’autonomie alimentaire » de la population régionale.
De plus, le regroupement s’inquiète de la pollution occasionnée par l’aménagement de parcs éoliens sur ces terres.
« Quand ils plantent ces éoliennes-là, les masses de béton qu’ils ancrent dans la terre pour les soutenir sont gigantesques. À un moment donné, quand ils décident de les démonter pour développer autre chose, ça va rester là. C’est de la contamination à long terme et les citoyens du Québec devraient être consultés », commente Gaëtan Ruest en entrevue avec Mon Matane.
Pour un BAPE générique sur la filière éolienne
Devant la prolifération de projets éoliens sur le territoire agricole et habité du Québec, un regroupement d'actuels et d'anciens élus municipaux de partout au Québec demande au ministre de l'Environnement, Benoit Charette, de déclencher un Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) générique sur la filière éolienne.
Nommé Vent d’élus, ce regroupement a préparé une résolution en ce sens que 2 MRC et 21 municipalités ont adopté à ce jour. Cette résolution souligne le fait que le territoire cultivable du Québec ne représente que 2% du territoire, soit 0,28 hectare cultivable par habitant, et que toute réduction du territoire cultivable menace la sécurité et l’autonomie alimentaire.
La présidente de Vent d’élus et conseillère municipale de Saint-Zéphirin-de-Courval, Rachel Fahlman, souligne le fait que les points de départ de cette résolution sont la protection du territoire agricole et la lutte contre la privatisation de la production d’électricité.
Nommé Vent d’élus, ce regroupement a préparé une résolution en ce sens que 2 MRC et 21 municipalités ont adopté à ce jour. Cette résolution souligne le fait que le territoire cultivable du Québec ne représente que 2% du territoire, soit 0,28 hectare cultivable par habitant, et que toute réduction du territoire cultivable menace la sécurité et l’autonomie alimentaire.
La présidente de Vent d’élus et conseillère municipale de Saint-Zéphirin-de-Courval, Rachel Fahlman, souligne le fait que les points de départ de cette résolution sont la protection du territoire agricole et la lutte contre la privatisation de la production d’électricité.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Vent d’élus redoublera ses efforts
pour un BAPE générique sur la filière éolienne
pour un BAPE générique sur la filière éolienne
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Vent d’élus prend son envol : Assemblée générale de fondation
« METTONS UN TERME À LA DÉPOSSESSION DU BIEN ÉOLIEN COMMUN »
Le développement éolien au Québec a largement été confié au privé : c’est un détournement de fonds publics qui doit d’être dénoncé et corrigé.
Nous lançons donc un appel à la Fédération québécoise des municipalités (FQM), à l’Union des municipalités du Québec (UMQ) et à tous leurs membres d’agir rapidement en arrêtant de cautionner ce détournement de fonds publics et la dépossession du bien commun au profit de l’industrie éolienne privée.
En cautionnant la production d’électricité par le privé et la poursuite de partenariats public-privé, nous, élus municipaux, soutenons activement un recul historique en regard de la nationalisation de l’électricité. Ce recul n’est pas qu’idéologique : il entraîne une perte d’expertise technique et scientifique sur le plan de la production d’électricité et un appauvrissement collectif sur le plan économique.
Une récente étude de l’Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) confirme cette affirmation et démontre que la population québécoise a dépensé plus de 6 milliards de dollars pour accorder la priorité à l’énergie éolienne privée et dépenserait jusqu’à 22 milliards d’ici 2035. Cette perte doit être évitée en priorisant une planification énergétique basée sur les besoins de la population plutôt que sur des intérêts privés et en confiant la production d’électricité éolienne à Hydro-Québec.
Dans sa conclusion, l’étude souligne que même si certaines municipalités profitent d’une partie de la rente éolienne, une question de fond se pose : « Qui sont les réels bénéficiaires de cette privatisation? » Si les municipalités étaient partenaires à 50 pourcent avec Hydro-Québec plutôt qu’avec les promoteurs, « les revenus pour chaque partie en 2023 auraient pu être compris entre 450 et 840 M$ et devraient atteindre entre 910 M$ et 1,70 G$ à l’horizon 2035. »
De tels manques à gagner ont un impact majeur sur les finances publiques et ainsi sur la capacité de l’État à procurer des services de qualité à ses citoyens. Sans compter qu’à ces déficits économiques s’ajoute le prix à payer pour les transformations du paysage et les nombreux conflits d’usage et impacts sur les populations riveraines telles la division sociale, les diverses nuisances, la perte de qualité de vie, etc. qu’entraîne un tel développement de la filière éolienne en milieu habité.
La FQM et l’UMQ offrent des services d’accompagnement payants aux MRC afin que ces projets éoliens s’implantent sur leurs territoires. Ces services poursuivent la même finalité que celle du gouvernement provincial : octroyer une plus grande place au privé dans la production d’électricité au Québec.
Cessons d’accepter ce modèle de développement énergétique par décrets! Passons à l’action et exigeons une politique globale de développement énergétique du Québec dans sa lutte aux changements climatiques.
Dans son Plan énergie, l’UMQ nous invite à être : « ambitieux pour nos communautés et pour les générations futures. Au Québec, dans nos municipalités, nous avons tout ce qu’il faut pour nous démarquer et devenir un modèle de développement économique durable. »
Nous invitons donc l’UMQ et la FQM à être à la hauteur de telles ambitions! Le modèle de développement économique que constitue la privatisation de la filière éolienne n’est pas durable et ne bénéficie qu’à quelques-uns au détriment du plus grand nombre.
Il n’est jamais trop tard pour agir ensemble pour le bien commun de la population québécoise : l’avenir de nos communautés et des générations futures en dépendent.
Nous lançons donc un appel à la Fédération québécoise des municipalités (FQM), à l’Union des municipalités du Québec (UMQ) et à tous leurs membres d’agir rapidement en arrêtant de cautionner ce détournement de fonds publics et la dépossession du bien commun au profit de l’industrie éolienne privée.
En cautionnant la production d’électricité par le privé et la poursuite de partenariats public-privé, nous, élus municipaux, soutenons activement un recul historique en regard de la nationalisation de l’électricité. Ce recul n’est pas qu’idéologique : il entraîne une perte d’expertise technique et scientifique sur le plan de la production d’électricité et un appauvrissement collectif sur le plan économique.
Une récente étude de l’Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC) confirme cette affirmation et démontre que la population québécoise a dépensé plus de 6 milliards de dollars pour accorder la priorité à l’énergie éolienne privée et dépenserait jusqu’à 22 milliards d’ici 2035. Cette perte doit être évitée en priorisant une planification énergétique basée sur les besoins de la population plutôt que sur des intérêts privés et en confiant la production d’électricité éolienne à Hydro-Québec.
Dans sa conclusion, l’étude souligne que même si certaines municipalités profitent d’une partie de la rente éolienne, une question de fond se pose : « Qui sont les réels bénéficiaires de cette privatisation? » Si les municipalités étaient partenaires à 50 pourcent avec Hydro-Québec plutôt qu’avec les promoteurs, « les revenus pour chaque partie en 2023 auraient pu être compris entre 450 et 840 M$ et devraient atteindre entre 910 M$ et 1,70 G$ à l’horizon 2035. »
De tels manques à gagner ont un impact majeur sur les finances publiques et ainsi sur la capacité de l’État à procurer des services de qualité à ses citoyens. Sans compter qu’à ces déficits économiques s’ajoute le prix à payer pour les transformations du paysage et les nombreux conflits d’usage et impacts sur les populations riveraines telles la division sociale, les diverses nuisances, la perte de qualité de vie, etc. qu’entraîne un tel développement de la filière éolienne en milieu habité.
La FQM et l’UMQ offrent des services d’accompagnement payants aux MRC afin que ces projets éoliens s’implantent sur leurs territoires. Ces services poursuivent la même finalité que celle du gouvernement provincial : octroyer une plus grande place au privé dans la production d’électricité au Québec.
Cessons d’accepter ce modèle de développement énergétique par décrets! Passons à l’action et exigeons une politique globale de développement énergétique du Québec dans sa lutte aux changements climatiques.
Dans son Plan énergie, l’UMQ nous invite à être : « ambitieux pour nos communautés et pour les générations futures. Au Québec, dans nos municipalités, nous avons tout ce qu’il faut pour nous démarquer et devenir un modèle de développement économique durable. »
Nous invitons donc l’UMQ et la FQM à être à la hauteur de telles ambitions! Le modèle de développement économique que constitue la privatisation de la filière éolienne n’est pas durable et ne bénéficie qu’à quelques-uns au détriment du plus grand nombre.
Il n’est jamais trop tard pour agir ensemble pour le bien commun de la population québécoise : l’avenir de nos communautés et des générations futures en dépendent.
MÉMOIRE
Mémoire déposé par Vent d’élus dans le cadre de la Consultation nationale sur le territoire et les activités agricoles – Agir pour nourrir le Québec de demain.
Pour lire l'article du vingt55: https://vingt55.ca/protection-des-terres-agricoles-vent-delus-depose-son-memoire-au-mapaq/
Pour lire l'article du vingt55: https://vingt55.ca/protection-des-terres-agricoles-vent-delus-depose-son-memoire-au-mapaq/
« COURSE À L'ÉNERGIE : DÉNI DE DÉMOCRATIE »
« ACCEPTABILITÉ SOCIALE ET DÉVELOPPEMENT DURABLE : QU'EN EST-IL DANS LE DÉVELOPPEMENT DE LA FILIÈRE ÉOLIENNE? »
« ON NE PEUT PLUS RESTER LÀ À NE RIEN FAIRE »
Vent d'élus en action
ASSEMBLÉE PUBLIQUE
Rencontre citoyenne à Durham-Sud le 22 mai 2024.
Photos: Denis Tanguay
Photos: Denis Tanguay
ASSEMBLÉE PUBLIQUE
Rencontre citoyenne à Saint-Bonaventure le 8 mai 2024.
ASSEMBLÉE PUBLIQUE
Rencontre citoyenne à Saint-Adelphe le 14 avril 2024.
ASSEMBLÉE PUBLIQUE
Rencontre citoyenne à Wotton dans la MRC des Sources le 28 avril 2024.
CONFÉRENCE
Organisé en collaboration avec le collectif Pour un choix éclairé dans Nicolet-Yamaska, le 25 avril 2024 à Nicolet : la conférence de l'Institut de recherche en économie contemporaine (IRÉC), « À qui profite la privatisation de la filière éolienne? »
MOBILISATION POUR L'AVENIR DE L'AGRICULTURE AU CENTRE-DU-QUÉBEC
Céline Dumas et Rachel Fahlman étaient présentes au grand rassemblement de plus de 300 tracteurs et 500 agricultrices et agriculteurs à Drummondville le 18 avril 2024.
WEBINAIRE
Le 10 avril 2024, en collaboration avec le Front commun pour la transition énergétique.
ASSEMBLÉE PUBLIQUE
Rencontre citoyenne à Saint-Guillaume le 4 avril 2024.
Accompagnés d'environ 75 citoyen.nes de la MRC de Drummond, Rachel Fahlman et Richard E. Langelier ont présenté les nombreux enjeux des projets éoliens en milieu habité et agricole.
En raison de la météo, les chercheurs de l'IRÉC ainsi que Claude Charron n'ont pas pu être présents.
Accompagnés d'environ 75 citoyen.nes de la MRC de Drummond, Rachel Fahlman et Richard E. Langelier ont présenté les nombreux enjeux des projets éoliens en milieu habité et agricole.
En raison de la météo, les chercheurs de l'IRÉC ainsi que Claude Charron n'ont pas pu être présents.
APPUI AUX AGRICULTEURS : MRC DE MÉKINAC
Isabelle Clément, conseillère municipale à Hérouxville et membre de Vent d'élus, en compagnie des conseillers Yvan Bordeleau, Hélène Gilbert et Véronique Doucet ont répondu présents pour recevoir le manifeste des producteurs agricoles à Hérouxville le 25 mars 2024.
INTERVENTION : MRC DE NICOLET-YAMASKA
Intervention lors du conseil des maires du 20 mars 2024.
Extrait de l'article de Via 90.5:
« Lors de cette séance, toute la période de questions a porté sur la question de la pertinence d’installer des éoliennes en territoire habité. Parmi les intervenants présents, la conseillère municipale de Saint-Zéphirin-de-Courval, Rachel Fahlman, a soulevé une question de fond sur la place du privé dans ce dossier. Elle a récemment participé à un colloque du Syndicat canadien de la fonction publique où il a été question de la privatisation des services publics. »
Extrait de l'article de Via 90.5:
« Lors de cette séance, toute la période de questions a porté sur la question de la pertinence d’installer des éoliennes en territoire habité. Parmi les intervenants présents, la conseillère municipale de Saint-Zéphirin-de-Courval, Rachel Fahlman, a soulevé une question de fond sur la place du privé dans ce dossier. Elle a récemment participé à un colloque du Syndicat canadien de la fonction publique où il a été question de la privatisation des services publics. »
AGORA
Avec la participation de Claude Charron à titre de paneliste.
ARTICLE DE PRESSE
« Un problème de démocratie universel, jusqu’au Québec :
Il y a quelques mois, les membres du bureau de Vent des maires ont eu la surprise d’être contactés par des élus du Québec qui voulaient s’inspirer du collectif français pour en créer un équivalent de l’autre côté de l’océan.
C’est ainsi que Vent d’élus a vu le jour au mois d’août 2023. « La raison en est simple : c’est qu’on a vu que leurs problèmes sont, en résumé, les mêmes que les nôtres », explique Pierre-Emmanuel Picard.
Le maire de Courcival ajoute que cela prouve que le problème de démocratie est universel : « Ce n’est pas uniquement un problème français, donc demander l’avis aux gens, ce n’est pas uniquement dans la Sarthe, c’est partout. » Il espère que les gens pourront décider de leur avenir et de leur environnement ensemble sans se le faire imposer. »
Il y a quelques mois, les membres du bureau de Vent des maires ont eu la surprise d’être contactés par des élus du Québec qui voulaient s’inspirer du collectif français pour en créer un équivalent de l’autre côté de l’océan.
C’est ainsi que Vent d’élus a vu le jour au mois d’août 2023. « La raison en est simple : c’est qu’on a vu que leurs problèmes sont, en résumé, les mêmes que les nôtres », explique Pierre-Emmanuel Picard.
Le maire de Courcival ajoute que cela prouve que le problème de démocratie est universel : « Ce n’est pas uniquement un problème français, donc demander l’avis aux gens, ce n’est pas uniquement dans la Sarthe, c’est partout. » Il espère que les gens pourront décider de leur avenir et de leur environnement ensemble sans se le faire imposer. »
CONFÉRENCE DE PRESSE
Des regroupements de partout au Québec se sont réunis le 7 mars 2024 à Saint-Hyacinthe pour demander une transition énergétique juste et viable.
« Depuis toujours, la filière éolienne au Québec a été et est encore développée de façon scandaleuse, non seulement de par son grave déficit démocratique où les citoyens sont écartés des décisions mais aussi parce qu’elle satisfait surtout les besoins de l’industrie », Claude Charron.
« Depuis toujours, la filière éolienne au Québec a été et est encore développée de façon scandaleuse, non seulement de par son grave déficit démocratique où les citoyens sont écartés des décisions mais aussi parce qu’elle satisfait surtout les besoins de l’industrie », Claude Charron.
ASSEMBLÉE PUBLIQUE
Rencontre citoyenne à Saint-Prosper-de-Champlain le 26 février 2024.
ARTICLE DE PRESSE
« Des citoyens demandent un référendum concernant les éoliennes »
INTERVENTION : MRC DE DRUMMOND
Intervention lors de la période de questions du 17 janvier 2024.
Extrait de l'article du journal Vingt55:
« Des enjeux soulevés pour les zones agricoles, l’environnement et l’acceptabilité sociale.
Madame Rachel Fahlman, conseillère municipale à Saint-Zéphirin-de-Courval et porte-parole de Vent d’élus, a également exprimé ses préoccupations concernant les enjeux agricoles et l’implantation des éoliennes.
Elle a souligné l’importance d’évaluer les 2 % des terres cultivables au Québec et de prendre en compte les enjeux démocratiques et d’acceptabilité sociale pour un développement durable.
Profitant de sa présence pour offrir sa collaboration et celle du regroupement « Vent d’élus » afin de mieux documenter et informer la MRC sur les réalités, les enjeux, et les préoccupations de la région, notamment en ce qui concerne l’eau potable et les agriculteurs, que pourrait avoir l’implantation d’un parc éolien dans la région centricoise. »
Extrait de l'article du journal Vingt55:
« Des enjeux soulevés pour les zones agricoles, l’environnement et l’acceptabilité sociale.
Madame Rachel Fahlman, conseillère municipale à Saint-Zéphirin-de-Courval et porte-parole de Vent d’élus, a également exprimé ses préoccupations concernant les enjeux agricoles et l’implantation des éoliennes.
Elle a souligné l’importance d’évaluer les 2 % des terres cultivables au Québec et de prendre en compte les enjeux démocratiques et d’acceptabilité sociale pour un développement durable.
Profitant de sa présence pour offrir sa collaboration et celle du regroupement « Vent d’élus » afin de mieux documenter et informer la MRC sur les réalités, les enjeux, et les préoccupations de la région, notamment en ce qui concerne l’eau potable et les agriculteurs, que pourrait avoir l’implantation d’un parc éolien dans la région centricoise. »
ASSEMBLÉE PUBLIQUE
Rencontre citoyenne à Sainte-Anne-de-la-Pérade le 22 février 2024.
ASSEMBLÉE PUBLIQUE
Rencontre citoyenne à Sainte-Thècle le 18 février 2024.
ARTICLE DE PRESSE
« Une trentaine d’élus et d’ex-élus [...] se sont justement rassemblés dans le groupe Vent d’élus, né en août dernier au Centre-du-Québec.
Ils demandent de «repenser le modèle de développement de la filière éolienne», notamment en confiant au BAPE un mandat générique, comme ce fut le cas en 2011 pour l’exploitation des gaz de schiste.
«On nous propose des projets pièce par pièce, mais on n’a aucune information sur l’impact global de tous ces projets», dénonce la co-porte-parole de Vents d’élus, Rachel Fahlman. «L’argent vient brouiller les eaux. Ça semble si facile, mais il y a beaucoup de risques à de tels projets. »
Ils demandent de «repenser le modèle de développement de la filière éolienne», notamment en confiant au BAPE un mandat générique, comme ce fut le cas en 2011 pour l’exploitation des gaz de schiste.
«On nous propose des projets pièce par pièce, mais on n’a aucune information sur l’impact global de tous ces projets», dénonce la co-porte-parole de Vents d’élus, Rachel Fahlman. «L’argent vient brouiller les eaux. Ça semble si facile, mais il y a beaucoup de risques à de tels projets. »
ENTREVUE
Entrevue radiophonique du 6 février 2024. Pascale Boislard en ondes avec Eric Gagnon d'Info-réveil.
ASSEMBLÉE PUBLIQUE
Rencontre citoyenne à Saint-Maurice le 4 février 2024.
Claude Charron et Rachel Fahlman ont prit la parole en compagnie de Richard E. Langelier, Jacques Rousseau et Martine Ouellet.
« Conseillère municipale à Saint-Zéphirin-de-Courval, Rachel Fahlman a quant à elle fait partager son expérience comme élue municipale à l’assistance. Elle a notamment rapporté les difficultés d’obtenir de l’information dans le processus de négociation entre les municipalités, les MRC et les promoteurs.
Selon elle, il y a «trop de confidentialité» exigée par les promoteurs. «Il y a matière à questionner ces projets-là», dit-elle en dénonçant ces ententes de confidentialités qui jettent un voile sur les détails des plans aux yeux des citoyens.
Concernant un éventuel rapport du Bureau d’audiences publiques en environnement (BAPE), Rachel Fahlman considère que, bien qu’essentiel, il ne vient qu’à la fin du processus et n’a qu’un pouvoir de recommandation. «C’est pas rassurant», dit-elle. »
Claude Charron et Rachel Fahlman ont prit la parole en compagnie de Richard E. Langelier, Jacques Rousseau et Martine Ouellet.
« Conseillère municipale à Saint-Zéphirin-de-Courval, Rachel Fahlman a quant à elle fait partager son expérience comme élue municipale à l’assistance. Elle a notamment rapporté les difficultés d’obtenir de l’information dans le processus de négociation entre les municipalités, les MRC et les promoteurs.
Selon elle, il y a «trop de confidentialité» exigée par les promoteurs. «Il y a matière à questionner ces projets-là», dit-elle en dénonçant ces ententes de confidentialités qui jettent un voile sur les détails des plans aux yeux des citoyens.
Concernant un éventuel rapport du Bureau d’audiences publiques en environnement (BAPE), Rachel Fahlman considère que, bien qu’essentiel, il ne vient qu’à la fin du processus et n’a qu’un pouvoir de recommandation. «C’est pas rassurant», dit-elle. »
ASSEMBLÉE PUBLIQUE
Rencontre citoyenne à Saint-Hugues le 31 janvier 2024.
Devant quelques 100 citoyens, Claude Charron et Rachel Fahlman ont prit la parole en compagnie de Richard E. Langelier et Janie Vachon-Robillard.
Devant quelques 100 citoyens, Claude Charron et Rachel Fahlman ont prit la parole en compagnie de Richard E. Langelier et Janie Vachon-Robillard.
ASSEMBLÉE PUBLIQUE
Rencontre citoyenne à Saint-Stanislas le 25 janvier 2024.
Claude Charron et Rachel Fahlman ont prit la parole en compagnie de Richard E. Langelier, Janie Vachon-Robillard et Normand Beaudet de la Fondation Rivières.
Étaient présents en ligne, Bruno Detuncq, Jean-Pierre Finet et Jacques Rousseau.
« Claude Charron, un citoyen de Saint-Ferdinand, aura peut-être été celui qui a le plus marqué les imaginaires. Vivant au cœur d’un parc éolien d’une cinquantaine de tours, il a dépeint sa réalité depuis que le projet est implanté et que "le paysage a disparu".
[...]
Or, c’est surtout le tissu social que les pales des éoliennes ont déchiré, témoigne le citoyen. Des amitiés brisées, des familles fracturées, une communauté divisée, dépeint M. Charron. Entre partisans et opposants, et ceux qui empochent les redevances, la cohésion sociale n’a malheureusement pas de prix, se désole-t-il. »
Claude Charron et Rachel Fahlman ont prit la parole en compagnie de Richard E. Langelier, Janie Vachon-Robillard et Normand Beaudet de la Fondation Rivières.
Étaient présents en ligne, Bruno Detuncq, Jean-Pierre Finet et Jacques Rousseau.
« Claude Charron, un citoyen de Saint-Ferdinand, aura peut-être été celui qui a le plus marqué les imaginaires. Vivant au cœur d’un parc éolien d’une cinquantaine de tours, il a dépeint sa réalité depuis que le projet est implanté et que "le paysage a disparu".
[...]
Or, c’est surtout le tissu social que les pales des éoliennes ont déchiré, témoigne le citoyen. Des amitiés brisées, des familles fracturées, une communauté divisée, dépeint M. Charron. Entre partisans et opposants, et ceux qui empochent les redevances, la cohésion sociale n’a malheureusement pas de prix, se désole-t-il. »
DOSSIER SPÉCIAL
« L'éolien au Québec : Une cage à homards »
Quatre membres de Vent d'élus ont contribué à ce dossier spécial: Gaétan Ruest, Jean-Pierre Ducruc, Sylvain Pillenière et Rachel Fahlman.
Quatre membres de Vent d'élus ont contribué à ce dossier spécial: Gaétan Ruest, Jean-Pierre Ducruc, Sylvain Pillenière et Rachel Fahlman.
COLLOQUE
« Une terre nourricière à protéger : vers une transition énergétique éclairée »
Autres interventions de nos membres
Acceptabilité sociale et éolien industriel en milieu habité et cultivable
Lettre à Michael Sabia de Claude Charron.
M. Sabia,
Thierry Vandal, ex-PDG d‘Hydro-Québec, a dénoncé les décrets gouvernementaux qui obligeaient HQ à acheter, au privé et à un coût prohibitif, de l’énergie éolienne dont elle n’avait pas besoin.
Eric Martel, ex-PDG d’Hydro-Québec, a dénoncé le projet Apuiat sur la Côte-Nord comme étant inutile et allant générer des pertes de 200 millions $ sur une période de 20 ans. La CAQ, alors dans l’opposition, abonde dans le même sens mais une fois au pouvoir cède devant le puissant lobby éolien et autorise le projet.
Sophie Brochu, ex-PDG d’Hydro-Québec, a dénoncé le Dollarama de l’énergie et la création d’une pénurie artificielle d’énergie électrique bradée à vil prix à des firmes étrangères énergivores au détriment des entreprises québécoises.
Avec pour résultat que l’aventure éolienne encouragée par nos gouvernements successifs a assujetti notre société mère aux aléas de politiciens non experts n’agissant pas dans l’intérêt public. Une aventure chaotique qui, depuis le deuxième appel d’offres de 2000 MW en 2008, aura généré des pertes de plus de 9 milliards $ (incluant le cadeau de 2.7 milliards $ aux promoteurs privés pour le câblage, les sous-stations et les pylônes) et une projection de 25 milliards $ de pertes à terme en 2042.
À cela s’ajoutent les projets éoliens de gré à gré, de la Seigneurie de Beaupré et des 4-5-6 ièmes appels d’offres, tous déficitaires, dont la dernière retenue au printemps 2024 de contrats pour un approvisionnement de 1550 MW d’énergie éolienne qui générera des pertes d’au moins 150 millions $/année.
Mais il y a pire. Outre les surcoûts liés à la filière éolienne, la majorité des projets en milieu habité rencontrent une forte opposition créant dans les communautés une division sociale qui impacte sévèrement voisins, familles, amis, commerces, organismes, élus, agriculteurs; tous s’affrontent dans un climat anxiogène et délétère. D’un milieu rural paisible les riverains qui se sont fait enfoncer dans la gorge un projet dont ils ne voulaient pas se retrouvent soudainement en zone industrielle, meurtris et désabusés; ils ont perdu leur cadre de vie, leur quiétude, une partie de leur patrimoine familial, des liens sociaux indispensables et leur confiance dans le processus démocratique.
Loin de s’améliorer la situation se détériore alors que le gouvernement actuel renchérit en voulant accélérer la mise en chantier de 10 000 MW d’énergie éolienne supplémentaire qui miteraient le territoire de façon irréversible. De la frontière américaine à la Gaspésie en passant par la Montérégie, le Centre-du-Québec, la Beauce et le Bas-Saint-Laurent, une ligne continue d’éoliennes plus hautes que la place Ville-Marie est en voie de surgir au milieu de milliers de kilomètres de nouvelles lignes de transport prévues pour acheminer cette énergie. Une cicatrice indélébile dans le paysage et dans le cœur des gens. La Belle Province livrée aux gens d’affaires.
Récemment, vous avez annoncé que dorénavant Hydro-Québec serait maître d’œuvre du développement éolien et qu’un projet de 3000 MW verrait le jour dans les territoires non organisés du Moyen-Nord québécois. Vous dites vouloir, en plus de faire des économies d’échelle, rechercher « la nécessaire acceptabilité sociale » qui fait défaut ailleurs au Québec.
En ce sens :
Étant donné l’effet cumulatif des impacts négatifs générés par les éoliennes industrielles de plus en plus imposantes et puissantes (division sociale, pollution visuelle et sonore, dévaluation marchande, risques sanitaires, etc.);
Étant donné le pacte gouvernement-promoteur-municipalité qui étend sa domination sur le citoyen en multipliant les manœuvres pour l’empêcher d’exercer son droit fondamental d’exprimer son choix sur la pertinence ou non de ces projets;
Nous demandons donc à Hydro-Québec :
De surseoir à tout nouveau projet éolien en territoire habité et cultivable sous toutes ses formes, soit par appel d’offres, de gré à gré, de type privé-public, communautaire, nationalisé ou autre.
D’exercer son rôle de maître d’oeuvre en excluant tout intermédiaire privé dans le développement de tout nouveau projet éolien en territoire non organisé.
De revendiquer son expertise dans le secteur énergétique et de continuer à se questionner sur l’opportunité ou non de développer de nouveaux mégas projets éoliens non seulement d’un point de vue économique, social et environnemental, mais également dans une perspective de fiabilité et de sécurité du réseau.
De favoriser et d’encourager un débat national sur les besoins du Québec en énergie dans le cadre d’une transition énergétique qui tient compte des aspirations et des valeurs des citoyens.
Nous avons au Québec, au cours des 25 dernières années, à l’intérieur d’un processus souffrant d’un lourd déficit démocratique, répondu aux demandes et besoins des promoteurs privés de l’éolien et de leurs actionnaires, à très, très fort coût, en dollars et en douleurs. Au nom de la justice sociale, par équité et par respect des principes fondamentaux de la loi sur le développement durable il est maintenant temps de répondre aux besoins de la population rurale, véritable gardienne du territoire.
« Le territoire est habité de façon extensive ce qui ne permet pas d’éloigner suffisamment les éoliennes des routes et des habitations. » BAPE 267, Conclusion, page 110.
Claude Charron
Comité des riverains des éoliennes de l’Érable (CRÉÉ)
M. Sabia,
Thierry Vandal, ex-PDG d‘Hydro-Québec, a dénoncé les décrets gouvernementaux qui obligeaient HQ à acheter, au privé et à un coût prohibitif, de l’énergie éolienne dont elle n’avait pas besoin.
Eric Martel, ex-PDG d’Hydro-Québec, a dénoncé le projet Apuiat sur la Côte-Nord comme étant inutile et allant générer des pertes de 200 millions $ sur une période de 20 ans. La CAQ, alors dans l’opposition, abonde dans le même sens mais une fois au pouvoir cède devant le puissant lobby éolien et autorise le projet.
Sophie Brochu, ex-PDG d’Hydro-Québec, a dénoncé le Dollarama de l’énergie et la création d’une pénurie artificielle d’énergie électrique bradée à vil prix à des firmes étrangères énergivores au détriment des entreprises québécoises.
Avec pour résultat que l’aventure éolienne encouragée par nos gouvernements successifs a assujetti notre société mère aux aléas de politiciens non experts n’agissant pas dans l’intérêt public. Une aventure chaotique qui, depuis le deuxième appel d’offres de 2000 MW en 2008, aura généré des pertes de plus de 9 milliards $ (incluant le cadeau de 2.7 milliards $ aux promoteurs privés pour le câblage, les sous-stations et les pylônes) et une projection de 25 milliards $ de pertes à terme en 2042.
À cela s’ajoutent les projets éoliens de gré à gré, de la Seigneurie de Beaupré et des 4-5-6 ièmes appels d’offres, tous déficitaires, dont la dernière retenue au printemps 2024 de contrats pour un approvisionnement de 1550 MW d’énergie éolienne qui générera des pertes d’au moins 150 millions $/année.
Mais il y a pire. Outre les surcoûts liés à la filière éolienne, la majorité des projets en milieu habité rencontrent une forte opposition créant dans les communautés une division sociale qui impacte sévèrement voisins, familles, amis, commerces, organismes, élus, agriculteurs; tous s’affrontent dans un climat anxiogène et délétère. D’un milieu rural paisible les riverains qui se sont fait enfoncer dans la gorge un projet dont ils ne voulaient pas se retrouvent soudainement en zone industrielle, meurtris et désabusés; ils ont perdu leur cadre de vie, leur quiétude, une partie de leur patrimoine familial, des liens sociaux indispensables et leur confiance dans le processus démocratique.
Loin de s’améliorer la situation se détériore alors que le gouvernement actuel renchérit en voulant accélérer la mise en chantier de 10 000 MW d’énergie éolienne supplémentaire qui miteraient le territoire de façon irréversible. De la frontière américaine à la Gaspésie en passant par la Montérégie, le Centre-du-Québec, la Beauce et le Bas-Saint-Laurent, une ligne continue d’éoliennes plus hautes que la place Ville-Marie est en voie de surgir au milieu de milliers de kilomètres de nouvelles lignes de transport prévues pour acheminer cette énergie. Une cicatrice indélébile dans le paysage et dans le cœur des gens. La Belle Province livrée aux gens d’affaires.
Récemment, vous avez annoncé que dorénavant Hydro-Québec serait maître d’œuvre du développement éolien et qu’un projet de 3000 MW verrait le jour dans les territoires non organisés du Moyen-Nord québécois. Vous dites vouloir, en plus de faire des économies d’échelle, rechercher « la nécessaire acceptabilité sociale » qui fait défaut ailleurs au Québec.
En ce sens :
Étant donné l’effet cumulatif des impacts négatifs générés par les éoliennes industrielles de plus en plus imposantes et puissantes (division sociale, pollution visuelle et sonore, dévaluation marchande, risques sanitaires, etc.);
Étant donné le pacte gouvernement-promoteur-municipalité qui étend sa domination sur le citoyen en multipliant les manœuvres pour l’empêcher d’exercer son droit fondamental d’exprimer son choix sur la pertinence ou non de ces projets;
Nous demandons donc à Hydro-Québec :
De surseoir à tout nouveau projet éolien en territoire habité et cultivable sous toutes ses formes, soit par appel d’offres, de gré à gré, de type privé-public, communautaire, nationalisé ou autre.
D’exercer son rôle de maître d’oeuvre en excluant tout intermédiaire privé dans le développement de tout nouveau projet éolien en territoire non organisé.
De revendiquer son expertise dans le secteur énergétique et de continuer à se questionner sur l’opportunité ou non de développer de nouveaux mégas projets éoliens non seulement d’un point de vue économique, social et environnemental, mais également dans une perspective de fiabilité et de sécurité du réseau.
De favoriser et d’encourager un débat national sur les besoins du Québec en énergie dans le cadre d’une transition énergétique qui tient compte des aspirations et des valeurs des citoyens.
Nous avons au Québec, au cours des 25 dernières années, à l’intérieur d’un processus souffrant d’un lourd déficit démocratique, répondu aux demandes et besoins des promoteurs privés de l’éolien et de leurs actionnaires, à très, très fort coût, en dollars et en douleurs. Au nom de la justice sociale, par équité et par respect des principes fondamentaux de la loi sur le développement durable il est maintenant temps de répondre aux besoins de la population rurale, véritable gardienne du territoire.
« Le territoire est habité de façon extensive ce qui ne permet pas d’éloigner suffisamment les éoliennes des routes et des habitations. » BAPE 267, Conclusion, page 110.
Claude Charron
Comité des riverains des éoliennes de l’Érable (CRÉÉ)
TES Canada et le mépris des faits
Texte d'opinion par Isabelle Clément, conseillère municipale à Hérouxville.
C’est presque gênant d’avoir à le rappeler, mais un fait et une opinion sont deux choses distinctes qui n’ont pas la même valeur de vérité.
Lorsque Éric Gauthier, président de TES Canada, affirme dans une entrevue au Nouvelliste que le nombre d’opposants à son Projet Mauricie est restreint quand on considère la population des MRC concernées dans son ensemble, c’est une simple opinion. Une opinion fondée sur rien du tout et visant uniquement à servir l’immense campagne de marketing mise en marche par TES Canada.
Rappelons que TES Canada a des millions de dollars à investir pour se faire entendre alors que les gens sur le terrain n’ont à peu près rien, si ce n’est leur temps, qu’ils doivent trouver malgré des vies professionnelles et familiales déjà très occupées.
Si Éric Gauthier trouve l’opposition insignifiante, c’est probablement lorsqu’il constate cette disproportion entre les moyens à sa disposition et ceux des opposants au projet. Mais en termes de nombre de personnes – ce qui devrait signifier quelque chose dans un pays supposément fondé sur la démocratie – l’opposition est loin d’être insignifiante.
Dans la réalité, nos villages et campagnes sont placardés de pancartes marquant l’opposition à ce projet. Alors qu’à Hérouxville, nous pouvions auparavant compter sur les doigts d’une seule main les citoyens qui se présentaient les soirs de conseil municipal, notre salle est désormais pleine chaque mois. C’est aussi le cas dans les municipalités touchées par le projet.
Aussi :
L’UPA Mauricie s’est positionnée contre le projet.
84% des répondants à un sondage commandé par le village de Saint-Prosper se sont positionnés contre le projet.
À Saint-Adelphe, village de 900 habitants, une pétition de 410 noms a été remise à la MRC.
À Sainte-Thècle, village de 2400 habitants, c’est 925 personnes qui ont signé pour marquer leur opposition.
À Saint-Luc-de Vincennes, village de 556 habitants, 314 signatures.
À Saint-Maurice, village de 3781 habitants, 950 signatures.
À Saint-Narcisse, village de 1834 habitants, 688 signatures.
À Saint-Prosper, village de 475 habitants, 376 signatures.
À Saint-Stanislas, village de 1020 habitants, 500 signatures.
À l’échelle du Québec, ça représenterait des millions de signatures.
Ces chiffres sont énormes. Les ignorer relève d’un mépris difficilement qualifiable.
Il faut être dans un déni grave de la réalité pour penser que l’opposition au Projet Mauricie est négligeable.
Plus encore, j’inviterais monsieur Gauthier à relire le texte d’une résolution qui demande un BAPE générique sur le développement éolien et qui a été adoptée par les municipalités de Saint-Adelphe et Sainte-Thècle, ainsi que la MRC de Mékinac cet été.
Voici un extrait:
«Considérant que le Projet Mauricie ne se réalise ni dans l’esprit de la nouvelle stratégie d’Hydro-Québec ni dans l’esprit du développement éolien qui a cours au Québec depuis plus de 20 ans»
«Considérant que le Projet Mauricie a été annoncé sans que les élus ou la population locale n’aient pu se prononcer sur le sujet»
«Considérant que le Projet Mauricie ouvre une brèche inédite en matière d’autoproduction hors site, et ce sans encadrement»
Peut-on vraiment conclure à la lecture des faits énumérés plus haut et de cette résolution que l’opposition au projet n’est portée que par une petite minorité?
Refuser de tenir compte de l’opposition qui fait rage en ce moment chez nous est non seulement une insulte aux principes démocratiques, c’est une déconnexion de la réalité.
Or, lorsqu’une personne refuse les faits avec une telle insistance, lui faire confiance devient un acte irresponsable.
La seule chose en laquelle on peut avoir confiance, c’est que TES Canada va maximiser les profits quitte à saccager la qualité de vie des populations au sein desquelles l’entreprise va s’établir. TES Canada nous montre des miettes au microscope en nous disant «Regardez l’immensité de ce que nous allons vous donner». Ça reste des miettes.
C’est presque gênant d’avoir à le rappeler, mais un fait et une opinion sont deux choses distinctes qui n’ont pas la même valeur de vérité.
Lorsque Éric Gauthier, président de TES Canada, affirme dans une entrevue au Nouvelliste que le nombre d’opposants à son Projet Mauricie est restreint quand on considère la population des MRC concernées dans son ensemble, c’est une simple opinion. Une opinion fondée sur rien du tout et visant uniquement à servir l’immense campagne de marketing mise en marche par TES Canada.
Rappelons que TES Canada a des millions de dollars à investir pour se faire entendre alors que les gens sur le terrain n’ont à peu près rien, si ce n’est leur temps, qu’ils doivent trouver malgré des vies professionnelles et familiales déjà très occupées.
Si Éric Gauthier trouve l’opposition insignifiante, c’est probablement lorsqu’il constate cette disproportion entre les moyens à sa disposition et ceux des opposants au projet. Mais en termes de nombre de personnes – ce qui devrait signifier quelque chose dans un pays supposément fondé sur la démocratie – l’opposition est loin d’être insignifiante.
Dans la réalité, nos villages et campagnes sont placardés de pancartes marquant l’opposition à ce projet. Alors qu’à Hérouxville, nous pouvions auparavant compter sur les doigts d’une seule main les citoyens qui se présentaient les soirs de conseil municipal, notre salle est désormais pleine chaque mois. C’est aussi le cas dans les municipalités touchées par le projet.
Aussi :
L’UPA Mauricie s’est positionnée contre le projet.
84% des répondants à un sondage commandé par le village de Saint-Prosper se sont positionnés contre le projet.
À Saint-Adelphe, village de 900 habitants, une pétition de 410 noms a été remise à la MRC.
À Sainte-Thècle, village de 2400 habitants, c’est 925 personnes qui ont signé pour marquer leur opposition.
À Saint-Luc-de Vincennes, village de 556 habitants, 314 signatures.
À Saint-Maurice, village de 3781 habitants, 950 signatures.
À Saint-Narcisse, village de 1834 habitants, 688 signatures.
À Saint-Prosper, village de 475 habitants, 376 signatures.
À Saint-Stanislas, village de 1020 habitants, 500 signatures.
À l’échelle du Québec, ça représenterait des millions de signatures.
Ces chiffres sont énormes. Les ignorer relève d’un mépris difficilement qualifiable.
Il faut être dans un déni grave de la réalité pour penser que l’opposition au Projet Mauricie est négligeable.
Plus encore, j’inviterais monsieur Gauthier à relire le texte d’une résolution qui demande un BAPE générique sur le développement éolien et qui a été adoptée par les municipalités de Saint-Adelphe et Sainte-Thècle, ainsi que la MRC de Mékinac cet été.
Voici un extrait:
«Considérant que le Projet Mauricie ne se réalise ni dans l’esprit de la nouvelle stratégie d’Hydro-Québec ni dans l’esprit du développement éolien qui a cours au Québec depuis plus de 20 ans»
«Considérant que le Projet Mauricie a été annoncé sans que les élus ou la population locale n’aient pu se prononcer sur le sujet»
«Considérant que le Projet Mauricie ouvre une brèche inédite en matière d’autoproduction hors site, et ce sans encadrement»
Peut-on vraiment conclure à la lecture des faits énumérés plus haut et de cette résolution que l’opposition au projet n’est portée que par une petite minorité?
Refuser de tenir compte de l’opposition qui fait rage en ce moment chez nous est non seulement une insulte aux principes démocratiques, c’est une déconnexion de la réalité.
Or, lorsqu’une personne refuse les faits avec une telle insistance, lui faire confiance devient un acte irresponsable.
La seule chose en laquelle on peut avoir confiance, c’est que TES Canada va maximiser les profits quitte à saccager la qualité de vie des populations au sein desquelles l’entreprise va s’établir. TES Canada nous montre des miettes au microscope en nous disant «Regardez l’immensité de ce que nous allons vous donner». Ça reste des miettes.
Lettre aux élu.es
Constats sur le développement éolien au Québec: une lettre ouverte rédigée par Rachel Fahlman à l'intention des élu.e.s de la MRC de Nicolet-Yamaska et de partout au Québec.
Cette lettre a été lue aux mairesses et maires de la MRC de Nicolet-Yamaska lors du conseil des maires du 20 mars 2024.
Cliquez sur le lien ci-dessous pour accéder à la lettre.
Cette lettre a été lue aux mairesses et maires de la MRC de Nicolet-Yamaska lors du conseil des maires du 20 mars 2024.
Cliquez sur le lien ci-dessous pour accéder à la lettre.
Certains élus font aussi de l'intimidation
Lettre d'opinion rédigé par Michel Veilleux, conseiller municipal de Sainte-Monique.
Éolien: Hydro a assoupli ses critères de contenu québécois et d'acceptabilité sociale
Article de presse avec la participation de Pascale Boislard, conseillère municipale à Saint-Albert.
Après, il sera trop tard
Publication de Stéphane Vincelette, conseiller municipale de Saint-Elphège, le 20 novembre 2023.
Il est important de bien s'informer avant… Après, il est trop tard…
Imagine... un peu...
Imagine une éolienne de 200 mètres... Plus de 650 pieds… Environ six silos de hauteur…
Imagine un parc éolien...
10, 20, 30, 40, 50, 100 éoliennes... Imagine un peu... juste un petit peu...
Les redevances que pourraient rapporter les éoliennes semblent empêcher certains de réfléchir... mais l'argent n'est pas tout...
Oui, nous avons besoin de plus d'énergie, d'autant plus si nous ne réduisons pas notre consommation... Donc, être un citoyen responsable en réduisant notre consommation et collectivement faire les choix les plus judicieux pour l'avenir...
Imagine... un peu...
L’acceptabilité sociale DÉBUTE par la consultation citoyenne…
Le jour où les éoliennes s'implanteront sur notre territoire, il sera trop tard...
Trop tard pour dire que la place des éoliennes n'est pas sur les terres agricoles, car c'est seulement que 2% à 4% du territoire québécois... notre garde-manger... notre futur et celui de nos enfants...
Trop tard pour dire que la place des éoliennes n'est pas en milieu habité...
Étant donné que l'impact négatif n’a été que peu étudié... Et c’est d’autant plus vrai pour celles à 6MW qu'on prévoit d’implanter dans notre MRC...
Trop tard pour se demander s'il est possible que les éoliennes aient un impact sur la faune, sur la population...
Mieux vaut se parler avant que de se déchirer socialement par la suite…
Trop tard pour s'assurer que ces éoliennes n'auront aucun impact sur les oies et les outardes... les chauves-souris en déclin...
Trop tard pour s'assurer que le bruit est vraiment insignifiant... comme le clament certains alors que d'autres semblent réellement affectés...
Trop tard pour dire que notre environnement n'est plus aussi paisible qu'avant... Qu’il ne soit plus aussi beau...
Trop tard pour vérifier si l'effet stroboscopique entre le soleil et l'éolienne est réel et si dérangeant...
Le jour où l'on constatera qu'on n'a peut-être plus la même qualité de vie à la campagne, que l’impact négatif des éoliennes est plus grand que ce qu’on nous disait afin de nous rassurer et faire passer le projet. Il ne nous restera à ce moment qu’à regarder notre impôt foncier et espérer que la différence en valait réellement la peine, mais il sera trop tard pour faire marche arrière...
À titre de conseiller municipal, j'ai été élu pour gérer le quotidien de la municipalité... je n'ai pas été élu pour implanter des éoliennes sur le territoire de St-Elphège...
En plus, comme beaucoup d'élu-e-s dans la MRC, j'ai été élu par acclamation… donc sans vote...
Est-ce possible que la majorité des élus soient moins bien informés sur les éoliennes que la population qui s'y oppose en terres agricoles ?
Est-ce possible que la place des éoliennes soit ailleurs qu'en milieu habité et qu'en terres agricoles ?
Est-ce possible qu'en vous intéressant plus à votre conseil municipal et aux enjeux de votre MRC que votre opinion comptera un peu plus ?
Est-ce possible, qu’en vous déplaçant au conseil des maires de notre MRC le 22 novembre prochain, que cela puisse vouloir dire RÉFLÉCHISSONS AVANT... PAS APRÈS ?
Imagine... un peu...
Les réponses doivent venir AVANT et non après…
N’hésitez pas à partager l’information autour de vous…
Stéphane Vincelette,
Conseiller municipal à St-Elphège - MRC de Nicolet-Yamaska
Il est important de bien s'informer avant… Après, il est trop tard…
Imagine... un peu...
Imagine une éolienne de 200 mètres... Plus de 650 pieds… Environ six silos de hauteur…
Imagine un parc éolien...
10, 20, 30, 40, 50, 100 éoliennes... Imagine un peu... juste un petit peu...
Les redevances que pourraient rapporter les éoliennes semblent empêcher certains de réfléchir... mais l'argent n'est pas tout...
Oui, nous avons besoin de plus d'énergie, d'autant plus si nous ne réduisons pas notre consommation... Donc, être un citoyen responsable en réduisant notre consommation et collectivement faire les choix les plus judicieux pour l'avenir...
Imagine... un peu...
L’acceptabilité sociale DÉBUTE par la consultation citoyenne…
Le jour où les éoliennes s'implanteront sur notre territoire, il sera trop tard...
Trop tard pour dire que la place des éoliennes n'est pas sur les terres agricoles, car c'est seulement que 2% à 4% du territoire québécois... notre garde-manger... notre futur et celui de nos enfants...
Trop tard pour dire que la place des éoliennes n'est pas en milieu habité...
Étant donné que l'impact négatif n’a été que peu étudié... Et c’est d’autant plus vrai pour celles à 6MW qu'on prévoit d’implanter dans notre MRC...
Trop tard pour se demander s'il est possible que les éoliennes aient un impact sur la faune, sur la population...
Mieux vaut se parler avant que de se déchirer socialement par la suite…
Trop tard pour s'assurer que ces éoliennes n'auront aucun impact sur les oies et les outardes... les chauves-souris en déclin...
Trop tard pour s'assurer que le bruit est vraiment insignifiant... comme le clament certains alors que d'autres semblent réellement affectés...
Trop tard pour dire que notre environnement n'est plus aussi paisible qu'avant... Qu’il ne soit plus aussi beau...
Trop tard pour vérifier si l'effet stroboscopique entre le soleil et l'éolienne est réel et si dérangeant...
Le jour où l'on constatera qu'on n'a peut-être plus la même qualité de vie à la campagne, que l’impact négatif des éoliennes est plus grand que ce qu’on nous disait afin de nous rassurer et faire passer le projet. Il ne nous restera à ce moment qu’à regarder notre impôt foncier et espérer que la différence en valait réellement la peine, mais il sera trop tard pour faire marche arrière...
À titre de conseiller municipal, j'ai été élu pour gérer le quotidien de la municipalité... je n'ai pas été élu pour implanter des éoliennes sur le territoire de St-Elphège...
En plus, comme beaucoup d'élu-e-s dans la MRC, j'ai été élu par acclamation… donc sans vote...
Est-ce possible que la majorité des élus soient moins bien informés sur les éoliennes que la population qui s'y oppose en terres agricoles ?
Est-ce possible que la place des éoliennes soit ailleurs qu'en milieu habité et qu'en terres agricoles ?
Est-ce possible qu'en vous intéressant plus à votre conseil municipal et aux enjeux de votre MRC que votre opinion comptera un peu plus ?
Est-ce possible, qu’en vous déplaçant au conseil des maires de notre MRC le 22 novembre prochain, que cela puisse vouloir dire RÉFLÉCHISSONS AVANT... PAS APRÈS ?
Imagine... un peu...
Les réponses doivent venir AVANT et non après…
N’hésitez pas à partager l’information autour de vous…
Stéphane Vincelette,
Conseiller municipal à St-Elphège - MRC de Nicolet-Yamaska
« Pas dans ma cour? » Pas si vite
Texte d'opinion par Rachel Fahlman, conseillère municipale à Saint-Zéphirin-de-Courval
Une terre nourricière
Élocution de Sylvain Laplante, ex-maire de La Visitation-de-Yamaska le 14 août 2023 à l'occasion d'une conférence de presse à Nicolet
Nos ancêtres ce sont arrachés le cœur pour défricher la terre et la rendre cultivable et viable pour nourrir leur famille en déplaçant les souches et en fendants des pierres à la sueur de leur front pour un jour la donner en héritage à leurs enfants.
Ces mêmes pierres qu’on a broyées, nous allons les ressemer sur nos terres productives en 0 ¾ fertilisé avec des dollars qui tombent du ciel.
De cette semence jaillira des tours, de ventilateurs géants pour notre bien-être à tous, pour notre confort, pour faciliter la vie des régions des québécois et des pays voisins.
Qu’est-ce qui est plus beau à contempler? Une liasse d’argent ou une liasse de blé? Il n’est pas trop tard pour une réflexion collective.
Moi, dans mon mandat de maire, j’ai toujours pris soin de consulter ma population pour des projets importants.
Celui-ci est gigantesque, à ne pas prendre à la légère. Il cogne à nos portes, il est pressé de s’établir chez nous. Il nous aime.
Encore aujourd’hui en tant qu’ex-maire de La Visitation, j’ai beaucoup de plaisir à côtoyer les gens qui m’ont élu. Je les saluts en échangeant une poignée de main honnête et amicale.
Ne laissons pas les gros sous détruire et dissoudre notre qualité de vie et notre solidarité chez nous dans notre MRC Nicolet-Yamaska sur nos terres nourricières.
J’ai emprunté une chanson de Raymond Lévesque que j’ai projetée dans le futur et je vous l’offre aujourd’hui pour demain.
Quand les gens vivaient d’amour
Il n’y avait pas de misère
Les soldats étaient troubadours
Mais nous, nous serons morts mon frère
Nos ancêtres ce sont arrachés le cœur pour défricher la terre et la rendre cultivable et viable pour nourrir leur famille en déplaçant les souches et en fendants des pierres à la sueur de leur front pour un jour la donner en héritage à leurs enfants.
Ces mêmes pierres qu’on a broyées, nous allons les ressemer sur nos terres productives en 0 ¾ fertilisé avec des dollars qui tombent du ciel.
De cette semence jaillira des tours, de ventilateurs géants pour notre bien-être à tous, pour notre confort, pour faciliter la vie des régions des québécois et des pays voisins.
Qu’est-ce qui est plus beau à contempler? Une liasse d’argent ou une liasse de blé? Il n’est pas trop tard pour une réflexion collective.
Moi, dans mon mandat de maire, j’ai toujours pris soin de consulter ma population pour des projets importants.
Celui-ci est gigantesque, à ne pas prendre à la légère. Il cogne à nos portes, il est pressé de s’établir chez nous. Il nous aime.
Encore aujourd’hui en tant qu’ex-maire de La Visitation, j’ai beaucoup de plaisir à côtoyer les gens qui m’ont élu. Je les saluts en échangeant une poignée de main honnête et amicale.
Ne laissons pas les gros sous détruire et dissoudre notre qualité de vie et notre solidarité chez nous dans notre MRC Nicolet-Yamaska sur nos terres nourricières.
J’ai emprunté une chanson de Raymond Lévesque que j’ai projetée dans le futur et je vous l’offre aujourd’hui pour demain.
Quand les gens vivaient d’amour
Il n’y avait pas de misère
Les soldats étaient troubadours
Mais nous, nous serons morts mon frère
Non à l’éolien industriel en milieu habité
Lettre ouverte par Claude Charron, ex-conseiller municipal de Vianney
Diviser pour reigner : quand les éoliennes débarquent en campagne
Entrevue avec Denise Gendron, mairesse de Sainte-Monique, Richard E. Langelier, juriste et sociologue, et Patrick Bonin de Greenpeace
Les dangers des éoliennes sur les terres agricoles
Entrevue avec Jean-Pierre Ducruc, agriculteur et ex-conseiller municipal de Sainte-Croix
Entrevue avec Rachel Fahlman
En première partie de la vidéo, une entrevue avec Rachel Fahlman, conseillère municipale à Saint-Zéphirin-de-Courval suite à la séance du conseil du 3 avril 2023.
Rachel Fahlman sur les éoliennes
Entrevue radiophonique du 10 mai 2023. Rachel Fahlman en ondes avec Marie-Claude Julien de Toujours le matin.
Les éoliennes font jaser au conseil des maires de Nicolet-Yamaska
Éoliennes: un projet qui va beaucoup trop vite
Entrevue avec Pascale Boislard dénonçant le processus entourant le projet éolien de la MRC d'Arthabaska.
Un vent trop fort contre les citoyens
Article sur le projet éolien de l'Érable incluant le témoignage de Claude Charron, ex-conseiller municipal de Vianney.
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